Comment j’en suis arrivée à me taper ma directrice ? Découvrez-le dans les lignes à suivre. Je suis une femme de la trentaine (je ne vous dirai pas mon âge), célibataire et rêvant d’une belle carrière professionnelle. Tout se passait bien dans ma vie et surtout sur le plan professionnel. Mais, lorsque l’entreprise dans laquelle je travaillais commença par connaître quelques difficultés financières et organisationnelles, l’ambiance au bureau s’est rapidement détériorée. Ayant démissionné de mon précédent poste à cause d’un épuisement mental et d’une crise de burn-out qui me fit perdre mes repères, je passai un petit temps à me remettre avant de recommencer à chercher un nouvel emploi. Lors d’un dîner chez des amis de longue date, une amie me parle recommande de postuler au poste de secrétariat de direction qu’elle occupe dans une agence publicitaire. Celle-ci avait en effet été mutée dans une filiale à l’étranger et son poste allait donc être vacant. Alors, sur recommandation de mon amie, je finis par être engagée pour ce nouveau travail.
Mon embauche par la directrice
Lors de mon entretien d’embauche, je fis face à celle qui allait devenir bien plus que ma supérieure, la directrice de l’agence. Au premier regard, on pouvait remarquer qu’il s’agissait d’une femme mature et passionnée par son travail. Son élégance ne l’empêchait pas d’être ferme et autoritaire quand il s’agit du travail. Mon entretien se passa très bien et je commençai à travailler dans cette agence. Pour éviter de revivre une situation pareille à celle qui m’a fait quitter mon précédent boulot, j’adoptai une manière de travailler plus efficace tout en prenant soin de ma santé mentale. Cela m’a permis de me montrer efficace dès mes premières semaines, ce qui ne laissa pas indifférente la directrice qui me le faisait comprendre dès qu’elle en avait l’occasion.
Les propositions douteuses de ma directrice
Un jour, elle me proposa de l’accompagner à une réception organisée par un client de l’agence. C’était l’occasion de me rapprocher de cette femme, hors du canevas professionnel. Vêtue d’une robe qui mettait parfaitement en valeur sa silhouette, je découvrais une autre facette de ma directrice. En discutant ce soir-là, je lui demandai de manière indiscrète pourquoi elle avait préféré que je l’accompagne plutôt que de venir avec son compagnon. Elle me parla alors ouvertement de son ascension dans le monde professionnel et de ses expériences ratées avec les hommes et comment elle s’est retrouvée à s’intéresser plus aux femmes.
Le jour où j’ai conclu
Ce que j’ai oublié de préciser c’est bien évidemment que je suis moi-même bisexuelle ayant déjà connu des aventures aussi bien avec des hommes, des femmes ou même les deux ! Mais je n’aurai jamais imaginé que ma patronne me verrait de cet œil-là. Je savais que j’avais du charme, de quoi séduire les hommes et les femmes lesbiennes. Je l’avais déjà fait même. Mais je ne sais pas à quel moment je me suis autant rapproché de la directrice. Tout se passait bien au boulot. Nous nous retrouvions des fois après le taf pour boire un coup ou visiter des bars. Sans m’en apercevoir, j’étais tombée amoureuse de ma patronne et un soir, en la raccompagnant chez elle, elle m’invita à rentrer prendre un dernier verre avant de m’en aller. Elle alla se déshabiller pendant que je m’installai dans son salon. Elle revient vêtue d’une robe de chambre très légère qui laissait voir ses tétons. Ses jambes longues étaient soyeuses et très sexy. Je sais déjà combien le sexe est meilleur avec une femme mature. Rapidement, je sens monter en moi une envie folle de tenter quelque chose bien que je susse que c’était ma chef ! Mais rien à faire, dès qu’elle s’assit à côté de moi et me tendit le verre de cognac, je m’élançai et l’embrassai langoureusement. À ma grande et agréable surprise, elle me rendit aussitôt mon baiser. Les baisers devinrent plus passionnés et nous nous touchions alors mutuellement. Je suçai inlassablement ses gros seins et la fit gémir. C’était anecdotique de voir ma directrice dans cette position mais je ne m’arrêtai pas. Je mouillai très vite et enlevai donc rapidement mes vêtements. À partir de là, les préliminaires s’écourtèrent et j’ai fini par faire l’amour avec ma patronne. Elle était incroyablement douée et s’occupa très bien de mon clitoris qui découvrait un plaisir étant plus jeune, je peux dire que je profitai largement de son expérience. Après ce qui venait de se passer, j’avouai mes sentiments et elle me confia que je lui plaisais aussi mais que notre relation risque d’être problématique à cause du travail. Alors on a continué à se voir de temps à autre pendant un moment avant d’assumer pleinement notre relation.